Défi écologique : le changement, c’est maintenant ? Le 22 mars aux Bernardins
« Défi écologique : le changement, c’est maintenant ?… ». Une soirée-débat qui aura lieu au Collège des Bernardins le vendredi 22 mars 2013 à 19h30 co-organisée avec l’association VivAgora, l’hebdomadaire Pèlerin, la Mission de France et le Collège des Bernardins. Une participation aux frais de 2€ sera demandée à l’entrée. Pour s’inscrire aller sur le site de VivAgora
Quatre intervenants participeront au débat:
– Jean-Guy DEVEZEAUX de LAVERGNE directeur de l’Institut de Technico-Economie des Systèmes Energétiques, CEA
– Bernard PERRET socio-économiste, membre du Conseil général de l’environnement et du développement durable
– François EUVE jésuite, rédacteur en chef de la revue « Etudes »
– Damien GANGLOFF jeune ingénieur, fondateur d’une association pour l’écologie et le développement local
L’argumentaire est le suivant:
L’industrialisation de nos sociétés et la consommation généralisée épuise nos ressources vitales. Dans le même temps la croissance économique s’essouffle et de nouvelles précarités se creusent. Ne faut-il pas repenser nos modes de production industrielle, de création de valeur et d’échanges ? Déjà de nouvelles solutions « durables » et de nouveaux modes de vie s’ébauchent. Sont-ils « tenables » ensemble ? Voilà des questions qui concernent en premier lieu les générations montantes. La soirée propose de recueillir les questions, les convictions, les espoirs et les inquiétudes, tout particulièrement des jeunes en formation, face aux défis écologiques (réchauffement climatique, chute de la biodiversité, épuisement des ressources énergétiques…). Des spécialistes leur répondront et un débat s’engagera sur ce qui est possible de mettre en œuvre et comment.
La soirée et le débat sont articulées autour de 4 questions:
1. Face aux défis écologiques, qu’est-ce qui est irréversible et qu’est-ce qui ne l’est pas ?
2. Comment sera le monde demain ? Quels chocs à prévoir ? Quels changements, quels nouveaux équilibres, quelles avancées technologiques peut-on attendre ?
3. Une sobriété de production et/ou de consommation est-elle souhaitable ? envisageable ?
4. A quelles ressources spirituelles et/ou chrétiennes faire appel pour s’engager dans la sobriété ?